lundi 16 mai 2016

supporter ou me laisser porter


Quand j’agis à partir de mon élan, en lien avec ce qui a du sens pour moi, connectée à mes besoins, je peux déplacer des montagnes. Je me sens « portée » et même les tâches difficiles se font dans la bonne humeur.

Quand j’agis par obligation, parce qu’il le faut, au contraire, mon énergie est proche de zéro . Je ronchonne, je râle, je remets à plus tard et tout semble laborieux et pénible .

Je fais ce dessin pour essayer de me souvenir, la prochaine fois que je serai au ralenti, en train de faire quelque chose à contre cœur ou de repousser une tâche, de prendre un temps pour écouter ce que je me dis. Chercher quelle est la phrase remplie de « il faut », « je dois » qui me pèse, m’alourdit, me freine. Et me demander : « Est-ce que ce je m’apprête à faire est au service de ce que je veux vivre ? »

Il faut que je change la litière du chat ! Pfff ! --> C’est pénible de le faire par obligation. En revanche si je me relie au besoin qui serait servi par cet acte, je me rends compte que oui, j’ai envie de contribuer au bien être et au confort de mon chat . Alors, je choisis de changer sa litière et j'ai même plaisir à le faire.

Et puis, si je me rends compte que la tâche que je m’apprêtais à faire, ne va pas vraiment nourrir mon besoin, je peux décider de ne pas la faire ou bien de choisir une autre manière de servir ce besoin.

A partir de maintenant, je choisis de me donner le choix !


1 commentaire:

  1. Bonjour Leiticia, je me délecte de vos dessins et je reconnais les utiliser pour mes ateliers de "gymnastique de tolérance" qui utilisent beaucoup la CN-V.
    M'accorderiez vous le droit de mettre un de vos dessins dans mon site internet: racines-libres.fr ?
    Je m'engage à mettre le lien de votre blog que je trouve très enthousiasmant. Merci pour toutes ces illustrations.
    Corinne valence

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